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Le Centre de conseils et d’appui pour les jeunes en matière de droits de l’homme (CODAP) est un centre de ressources, créé à Genève (Suisse) en 1986, pour soutenir et promouvoir l’engagement des jeunes en faveur des droits fondamentaux.

MISSION DU CODAP

Le but du Codap est de promouvoir et de soutenir l’engagement et les initiatives propres aux jeunes dans les grandes causes contemporaines, telles que:

  • La défense et le respect des droits fondamentaux
  • Les efforts des défavorisés pour assurer leur autonomie et leur dignité
  • Le droit de vivre dans un environnement sain et écologiquement équilibré.

Le Codap se donne comme objectifs de:

  • Renforcer les actions et initiatives de jeunes dans le domaine des droits humains
  • Faire connaître et promouvoir les initiatives de jeunes
  • Connaître les problématiques qui les concernent et leur évolution
  • Améliorer le contexte dans lequel les jeunes peuvent agir

UN PARTENAIRE DE PREMIER PLAN

L'histoire du CIFDHA se mêle à celle du Centre de conseils et d’appui pour les jeunes en matière de droits de l’homme (CODAP). Et pour cause, après avoir favorisé la participation de bon nombre de jeunes burkinabè à ses cours de formation de base (CFB) et à diverses autres formations à Genève, le CODAP a pris une part active à la consolidation du CIFDHA. Il constitue aujourd'hui un partenaire de choix du CIFDHA et bénéficie de son appui à la fois stratégique et technique dans l'organisation des sessions annuelles des universités des droits humains.

 

 

 

Pour atteindre ses moyens d'actions le CIFDHA recourt aux moyens d'actions suivants :

  • Formation et renforcement des capacités d’action des jeunes et des défenseurs des droits humains africains ;
  • Promotion des droits humains et du genre, de l'état de droit, de la démocratie et de la bonne gouvernance ;
  • Information, sensibilisation et éducation aux droits humains (EDH) au profit du public ;
  • Assistance juridique et judiciaire aux personnes victimes à travers des activités cliniques ;
  • Accompagnement et appui-conseil au profit des organisations et des institutions ;
  • Plaidoyer en faveur des droits humains et en particulier pour l'abolition de la peine de mort;
  • Monitoring de la situation des droits humains et dénonciation des abus ;
  • Recherches, études et publications ;
  • Promotion et défense de l'engagement et de la place des jeunes au sein des organisations ;
  • Mise à disposition de ressources documentaires sur les droits humains (bibliothèque);
  • Développement de projets et programmes et mobilisation des ressources ;
  • Développement de partenariats avec des organisations et institutions opérant sur le même champ à l’intérieur du Burkina Faso, au niveau régional et international ;

 

 

 

 

L’équipe du Centre d’Information et de Formation en matière des Droits Humains en Afrique (CIFDHA) se compose d’une dizaine de personnes assumant diverses responsabilités au sein de la Direction Exécutive, du Conseil d’Administration, du Conseil scientifique ou de commissions ad’hoc (presse, recherche). Ils partagent ensemble la conviction que la jeunesse a un rôle important à jouer dans l’édification d’une Afrique où la dignité humaine sera respectée. Dynamisme et cohésion, innovation et bonne gouvernance interne, constituent les forces et les principes qui guident l’action du CIFDHA.

Le Conseil d’administration

Urbain K. YAMEOGOPrésident. Chargé de cours et de recherche dans des universités au Burkina, en Côte d'ivoire et au Canada sur les questions de responsabilité sociale des entreprises, d'entreprise et droits de l'homme, il est certifié de l’Institut International des Droits de l’Homme de Strasbourg et du Centre International pour l’Enseignement des Droits de l’Homme dans les Universités (CiedhU) et a pris part au Cours de formation de base du CODAP en 2006. 

Urbain SoméVice-président. Titulaire d’une maitrise en Droit de l’Université de Ouagadougou, il est agent judiciaire du Trésor public. Il a pris part au cours de formation de base du CODAP à Genève.

Gisèle DiarraTrésorière. Titulaire d’une maîtrise en droit de l’université de Ouagadougou et d'un Master 2 en droit fiscal, elle travaille dans une compagnie minière. Elle a pris part au cours de formation de base du CODAP à Genève en 2009.

Ali Traoré, Conseiller. Titulaire d’un DESS en droit des Affaires de l'Université de Ouagadougou, il est certifié de l’Institut International des Droits de l’Homme de Strasbourg et du Centre International pour l’Enseignement des Droits de l’Homme dans les Universités (CiedhU). Il a pris part au cours de formation de base du CODAP à Genève en 2009. Il a été Président du CIFDHA de 2009 à 2010, puis Coordonnateur général de 2010 à 2013. Il est juriste, responsable des sinistres et du contentieux dans une société d'assurance.

Lydia Zanga née OuédraogoConseillère. Titulaire d'une maîtrise de droit public et d’un Master en droits fondamentaux, elle est certifiée de l’Institut International des Droits de l’Homme de Strasbourg. Elle fut Présidente du CIFDHA de 2010 à 2015.Elle travaille professionnellement dans une organisation de promotion des droits de l'homme.

Abdalah Djabir TraoréConseiller. Titulaire d'une maîtrise en droit public, et diplômé en "Gouvernance et management public" de l’Université Senghor d’Alexandrie, il travaille une ONG qui s'occupe des questions de citoyenneté et de gouvernance locale.


Me Olivier SOMÉ, Conseiller. Titulaire d'une maîtrise en droit de l'université de Ouagadougou et d'un Master en environnement, il est avocat au barreau de Ouagadougou.

 

Le Secrétariat exécutif

Etienne Kaboré, Coordonnateur général. Juriste, il est titulaire d’une maitrise en Droit des Affaires de l’Université de Ouagadougou. Il a pris part au cours de formation de base du CODAP en 2013 et 2014 à Genève. Il est membre du bureau exécutif d'Amnesty International Burkina.

Daouda BaléResponsable administratif et financier. Il est juriste, titulaire d’une maitrise en Droit public de l’Université de Ouagadougou et travaille professionnellement dans une organisation non gouvernementale, Il a pris part au CFB du CODAP en 2012 à Genève.

André Kaboré, Chargé de missions. Étudiant en 7ème année de médecine, il a pris part au CFB du CODAP en 2014 à Genève.

 

Conseil scientifique

 

David Matthey-Doret, il préside le GLAJ-GE, après avoir été successivemet Président et coordinateur Général du CODAP. Il a accompagné la création et la mise en place du CIFDHA ainsi que l'organisation des premières universités d'été.

 

 

Roland d’Hoop, responsable chargé outils de sensibilisation à Oxfam Belgique, il était précédemment responsable du programme jeunesse d’Amnesty International Belgique francophone

Dr Clarisse Mérindol/Ouoba, Professeur de relations internationales, elle est conseillère juridique près la mission diplomatique du Burkina Faso à Genève.

Luc Damiba, Journaliste et réalisateur, il est le président de Semfilms et du festival Ciné Droit Libre.

 

 

 

 

Notre conviction :

La formation des jeunes constitue un investissement dans le présent et dans l’avenir. Bien souvent malheureusement, les jeunes sont au premier plan dans les conflits, soit en tant que victimes, soit en tant qu'auteurs d'atteintes souvent graves aux droits humains. La formation des jeunes constitue ainsi pour nous le meilleur moyen d'éviter qu’ils ne soient ni victimes d’atteintes à leurs droits, ni auteurs de violations des droits des autres.

Notre vision :

La vision du CIFDHA est celle d’un monde où les droits individuels et collectifs sont respectés, où les sociétés africaines débarrassées de tout conflit, coopèrent avec les autres pour atteindre le développement durable.

Notre mission :

Contribuer à la vulgarisation des instruments de promotion et de défense des droits humains et l’amélioration de la situation des droits humains en Afrique, telle est la mission que s’assigne le CIFDHA.

Notre objectif :

L’objectif principal du CIFDHA est d’œuvrer à la promotion et à la défense des droits humains inscrits dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948, la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples, ainsi que les autres textes nationaux et internationaux relatifs aux droits de l’homme pertinents.

A cet effet, le CIFDHA se propose de :

  • informer et de conseiller le public, les citoyens et les organisations de la société ;
  • former ou renforcer les capacités d’action des jeunes ;
  • constituer une expertise jeune sur les questions de droits humains à la disposition des organisations et des pays africains ;
  • promouvoir et défendre l'engagement et la place des jeunes au sein des organisations et favoriser une plus grande participation active des jeunes à la prise de décision ;
  • renforcer le leadership des jeunes au sein des organisations de promotion et de défense des droits humains.
  • stimuler la motivation et la capacité des jeunes pour l’action internationale et favoriser les échanges et la synergie d’action entre jeunes aux niveaux national, régional et international ;
  • dénoncer les atteintes et violation des droits fondamentaux de la personne humaine ;

  • offrir de l’assistance juridique et judiciaire aux victimes de violation des droits humains en général, aux personnes démunies, aux demandeurs d'asiles, réfugiés et apatrides ;
  • ester en justice en portant devant les juridictions nationales et internationales compétentes des cas de violations de droits humains ;
  • mettre à la disposition du public en général, des étudiants et des chercheurs en particulier des ressources documentaires sur les droits humains ;
  • mobiliser les ressources nécessaires à la poursuite de ses objectifs ;
  • développer des partenariats avec des organisations et institutions opérant sur le même champ à l’intérieur du Burkina Faso et au niveau régional et international ;
  • adopter la promotion du genre comme activité transversale à toutes les autres activités ;
  • développer des projets et programmes en matière de droits humains ;
  • conduire des recherches, des études et réaliser des publications ;
  • engager toute activité légale jugée nécessaire et propre à assurer la poursuite du but du Centre.

 

 

 

Créé en 2009 et officiellement reconnu en 2010, le CIFDHA est une association de droit burkinabè régulièrement immatriculée sous le numéro N00000062301 du 19 Décembre 2016 conformément à la loi N°064-2015/CNT portant liberté d’association. Porté par des jeunes défenseurs de droits humains burkinabè participants aux sessions de formation de l'Institut international des droits de l'homme (IIDH) de Strasbourg et au cours de formation de base aux droits de l'homme annuellement organisé à Genève par le Centre de conseils et d'appui pour les jeunes en matière de droits de l'homme (CODAP), la mise en place du CIFDHA vise à favoriser le transfert des connaissances et des compétences acquises lors de ces formations à d'autres jeunes africains qui n'ont pas eu cette chance d'en bénéficier. C'est pourquoi la vocation première du CIFDHA est le renforcement des capacités d'actions des jeunes défenseurs des droits humains par des formations locales de qualité leur permettant d'être plus efficaces dans leurs interventions sur le terrain. Le CIFDHA compte une cinquantaine de membres désireux de mettre leurs compétences, leur expertise et leur engagement au service d'autres jeunes à travers le continent et au profit de toute organisation, publique ou privée, intéressée par les droits humains. Il est au cœur d'un Réseau ouest africain de jeunes défenseurs des droits humains constitué de jeunes ayant participé depuis 2010 à ses différentes formations.

 

 

 

Le Centre d’Information et de Formation en matière de Droits Humains en Afrique (CIFDHA) a été créé en 2009 à l’initiative de jeunes du Burkina Faso et de Suisse, désireux de stimuler le militantisme, l'implication et l'engagement des autres en faveur des droits humains. Sa reconnaissance officielle par les autorités burkinabè intervient le 22 février 2010 par Récépissé N°2010-011/MATD/SG/DGLPAP/DOASOC et son siège social est établi à Ouagadougou.

 

 

 

Le Centre d’Information et de Formation en matière de Droits Humains en Afrique (CIFDHA) a été créé en 2009 à l’initiative de jeunes du Burkina Faso et de Suisse, désireux de stimuler le militantisme, l'implication et l'engagement des autres en faveur des droits humains. Sa reconnaissance officielle par les autorités burkinabè intervient le 22 février 2010 par Récépissé N°2010-011/MATD/SG/DGLPAP/DOASOC et son siège social est établi à Ouagadougou. Il se présente ainsi comme un cadre d'échange et d’accompagnement des jeunes intéressés aux questions de droits humains.

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